Voici quelques avis de lecteur.ices postés sur leurs réseaux sociaux ou sur des plateformes de lecture, afin de vous faire une idée sur mes romans ;)

“ J’ai déjà lu plusieurs réécritures mythologiques mettant en scène le personnage de Cassandre, princesse de Troie. Folle de Troie. Une figure féminine puissante, mais opprimée: on ne l'écoute pas, on ne la croit pas. Jamais. Et puis, la guerre, c'est l'affaire des hommes. Aussi parle-t-on souvent de la guerre de Troie sans même l'évoquer. Voilà pourquoi j'étais très curieuse de lire cette réécriture française issue de la plume d'une jeune autrice.

Le roman n'est pas long. Un peu plus d'une centaine de pages. Aussi se dévore-t-il rapidement. La plume de Clémence est très agréable et permet ainsi de mieux s'imprégner de l'histoire de la princesse de Troie. Elle rend sa voix plus accessible. Le vocabulaire est également légèrement soutenu, insufflant un côté plus “antique”.

J'ai aimé la part faite à la féminité. On n'hésite pas à parler de règles ou de grossesses. On n'hésite pas à montrer la violence d'une cité en guerre. Une guerre masculine, dont les victimes invisibles sont aussi les femmes.

[..] Pour ce qui est des protagonistes masculins, j'ai été heureuse de voir que l'autrice ne les avait pas tous rendus mauvais comme cela peut être le cas dans certaines réécritures au féminin. Pas de manichéisme ici, et c'est agréable [..]”

— par @sorce.livres sur IG, Cassandre

“ J’avais adoré Cassandre de la même autrice et j'aime autant Médée, voire plus. Je suis un peu difficile en réécritures mythologiques, c'est tout ou rien, mais là, c'était "tout". Ce roman m'a permis de me ressaisir parce que j'avais oublié à quel point Jason était infernal. (Merci Clémence).

Le roman est relativement court mais selon moi, c'est suffisant, et paradoxalement, j'ai retiré une demi-étoile parce que j'aurais adoré avoir quelques pages de plus autour du dénouement. Je ne peux pas dire que ça manque, fondamentalement. Comme ça, c'est aussi très bien, mais j'aurais aimé que ça dure un peu plus sur cette partie-là qui constitue un peu le point culminant du mythe. Le reste, c'est du positif. J'aime beaucoup la plume, elle est fluide, ce qui doit être dit est dit, les émotions sont très franches et traversent le papier. L'histoire est claire, facile à comprendre pour ceux qui ne la connaissent pas encore, et les événements sont bien amenés. Techniquement, et selon moi, c'est excellent.

Ce n'est pas évident de chroniquer les romans qu'on a beaucoup aimés, et encore moins les réécritures, car on est dans quelque chose de très subjectif et personnel, mais j'ai été profondément touchée. Je voulais crier (ça, c'est la faute de Jason), et j'avais le cœur serré après cette lecture.

Je suis totalement fan des réécritures (vraiment) féministes de Clémence Marais. Pour moi, c'est encore une réussite. “

— @hares.booksta sur IG, Médée

“ Une seconde réécriture de mythe rondement menée...et déjà dévorée !

Ici, l'histoire de Médée, jeune femme aux dons mystérieux qui va aimer un prince jusqu'au plus profond de son être, mais qui va subir une trahison ignoble.

Entre victime et meurtrière, j'ai adoré suivre ce personnage complexe, attachant et inquiétant.

Avide autant de passion que de vengeance, sa haine et sa douleur vont la pousser à des actes abominables.

Encore une fois, j'admire ce travail d'écriture et je remercie l'autrice pour cette tempête d'émotions. “

— @niffleur_en_balade sur IG, Médée

“ C’était incroyable. Je ne suis pas spécialement portée sur le thriller ou le paranormal, et pourtant... Avec cette autrice, ça ne pouvait que fonctionner. Pour moi, c'est un livre qui ravira les fans du genre, mais aussi celleux qui aimeraient le découvrir.

La plume est sublime, comme toujours. Mais cette fois-ci, Madame Marais innove avec un jeu sur les points de vue et les époques. C'est incroyablement bien pensé : j'ai su en quelques lignes à quelle époque on se trouvait, rien qu'à la façon dont c'était écrit.

Émile est un touchant. Tourmenté, hanté par un don qui le lie au passé, il revit les souvenirs de ses ancêtres à l'époque victorienne. Une plongée immersive, truffée de faits et de personnages historiques, où la recherche est une fois de plus impeccable. Je suis sûre d'avoir raté certaines références, mais peu importe: je me suis laissée porter.

L'histoire s'assombrit à mesure qu'Émile se perd dans ces souvenirs. D'abord, il rejette son don, puis il s'y accroche, attendant fébrilement le prochain fragment de mémoire pour suivre, par procuration, la romance de son ancêtre. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Le passé cache des secrets inavouables.

L'enquête est haletante, impossible de lâcher le roman. Ce qui semblait être une simple plongée dans le passé se transforme en un jeu dangereux, où chaque réponse amène de nouvelles interrogations. L'atmosphère devient pesante, presque oppressante.

Et puis vient l'occulte. La tension monte et c'est glaçant. Je ne m'attendais pas du tout à cette tournure, ça m'a beaucoup plu!

Et cette fin? Cruelle. Déchirante. Inoubliable. J'ai fixé mon mur pendant de longues minutes. En bref, un one-shot surnaturel captivant, qui se dévore d'une traite et laisse une empreinte durable. “

— @thelmaetbooksta sur IG, Le Poids du Passé

“ Je vous dirais d’abord et c’est un élément essentiel pour moi, que c’est superbement bien écrit ! La plume est incisive, on ne s’embête pas des descriptions à rallonge et pourtant tout y est clair et les images viennent naturellement. 

On a des personnages authentiques, complexes et attachants à souhait dont les destins se croisent pour résoudre une quête prophétique qui décidera de l’avenir du monde. 
Le récit est fluide, les chapitres sont cours et composés de petits paragraphes ce qui permet de dévorer les pages sans même sans rendre compte. 

On a devant les yeux un roman d’introduction à un univers prometteur où se dessinent trois romances empreintes de slow burn et de proximité forcée.

[..] les évènements des derniers chapitres se dénouent facilement et il semble que la partie prophétique de l’histoire est résolue, ne nécessitant pas nécessairement de suite. Mais voilà que cette supposition s’envole sur les derniers mots... 

Ce roman n’a rien à envier à ceux publiés par les maisons d’édition, c’est donc avec impatience que j’attends la suite ! “


— @thelmaetbooksta sur IG

“ C’est le troisième livre de Clémence que je lis, et je ne suis jamais déçue par sa plume. Dans ce deuxième tome de L’Ultime Prophétie, on suit de nouveaux personnages dans une nouvelle partie du monde, cherchant à empêcher la fin de celui-ci.
J’ai vraiment beaucoup aimé suivre une fratrie (deux sœurs et un frère) dans ce tome. Ils ont des personnalités très différentes et un lien unique qui les unit, celui de membres d’une même famille. Et, mine de rien, on a peu souvent des livres dans lesquels les frères et sœurs suivent une même quête ENSEMBLE du début à la fin. Dans beaucoup de fantasy, on suit un membre d’une fratrie seulement, les autres laissés à l’abandon haha.
J’ai adoré voir leur relation évoluer au fur et à mesure du livre, faire face ensemble à des épreuves de plus en plus dangereuses. Les voir s’unir face à un même combat, malgré quelques tensions, c’est beau. Mais le personnage qui m’a le plus touchée, c’est Tahrëk. C’est un personnage qui a une évolution de dingue, et surtout qui, au début, a l’air d’être juste un peu rigolo et « je m’en moque de tout », le rebelle de la famille qui pense qu’à lui et son propre plaisir. La construction de chaque personnage, mais surtout de ce dernier, est incroyable et je me suis attachée à lui plus qu’à tous les autres.
Là où Clémence est vraiment forte, c’est qu’elle a réussi à m’avoir. J’ai eu un moment, j’étais littéralement : 🤯. Je ne m’attendais clairement pas à plusieurs événements, et j’ai adoré être surprise comme ça.
Ce livre, c’est une grande quête dans laquelle on voyage beaucoup, on découvre une culture qu’on voit rarement (bien que de plus en plus) en fantasy. Une culture bien représentée, loin des clichés.
En bref, un livre que j’ai beaucoup aimé. Il me tarde de découvrir la suite de cette saga, car plus on avance, plus j’ai de l’espoir et en même temps peur pour ce monde au bord de la destruction. “

— @maggie_dlbf sur IG